Entrée joyeuse

Valladolid, 9hoo. Jero venait de se lever, ce matin était la grande entrée à l'école Carmen Arranz. Que demandé de mieux ? Jero était fin existé, mais il ne fallait surtout pas loupé le taxi qui devait le prendre, il ne restait plus beaucoup de temps pour se préparer. Petite douche, coiffage et habillage, Jero était enfin près, mais fallait-il encore vérifié ses petites valises ... Il sortit de la salle de bain, fonca danns sa chambre |[ Qui servait aussi aux autres enfants de la famille ]|, et vit que sa mère avait deja regardé dedans. Il trouva un petit mot au dessus qui affirmait son contenu. Il descendit l'escaliers, chargé à bloque et il vit l'ensemble de la famille reunit pour son départ. Il souria et fit une grosse tournée de bisous et d'au revoir. La pendule affichait l'heure de partir, il sortit de la maison.

Madrid, 18hoo. Jero était enfin arrivé devant ce qui allait être sa futur 'demeure', il avait comme une boule au ventre qui lui pesait. Comment les élèves allaient-ils prendre son arrivée ? Jero souffla et s'avanca avec ses valises. La porte s'ouvrit devant lui, il n'avait plus qu'à entrer .. Le voilà à l'intérieur.

L'école était, à ses yeux, magnifique, grande et ... Il n'y avait pas de mots pour la décrire, il n'avait pas été habitué à autre chose que sa modestité. A cette heure-ci, les élèves, devina-t-il, sortait de tous les coins. D'ici .. De là .. Aucun ne semblait s'interrésé à lui, normal pensa-t-il.
Jero n'était pas entrée le même jour que ses camarades de seconde année, à quelques jours d'intervalle plutot. Il sentit un point de côté dans le dos, il lacha ses valises à ses pieds, ce qui fit un bruit sourd et lourd. Il ne savait pas où aller, il resta là, planté là, en attendant que quelqu'un aurait pitié de lui et de ses pauvres petites valises. Jero en profita pour chercher ses lunettes dans sa poche de blouson, mais curieusement il ne les trouva pas. Les avait-il prit ? Panique totale, Jeronimo se souvena les avoir mis dans une valise, mais laquelle ? Il se leva et prit la première qui vena. Heureusement pour sa petite pomme, elle était là, il les prit et les metta sur le bout de son nez. A présent, il pouvait admirer son école...